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Báo cáo lâm nghiệp: " Effets de divers modes de fertilisation (N, P, K) certaines caractéristiques physiques, chimiques, mécaniques et propriétés papetières du pin maritime des Landes (Pinus pinaster Ait.)"

Chia sẻ: Nguyễn Minh Thắng | Ngày: | Loại File: PDF | Số trang:27

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Tuyển tập các báo cáo nghiên cứu về lâm nghiệp được đăng trên tạp chí lâm nghiệp Original article đề tài: Effets de divers modes de fertilisation (N, P, K) certaines caractéristiques physiques, chimiques, mécaniques et propriétés papetières du pin maritime des Landes (Pinus pinaster Ait.)...

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Nội dung Text: Báo cáo lâm nghiệp: " Effets de divers modes de fertilisation (N, P, K) certaines caractéristiques physiques, chimiques, mécaniques et propriétés papetières du pin maritime des Landes (Pinus pinaster Ait.)"

  1. Effets de divers modes de fertilisation (N, P, K) certaines caractéristiques physiques, chimiques, sur mécaniques et propriétés papetières du pin maritime des Landes (Pinus pinaster Ait.) II. Bois de compression et propriétés papetières G. S. OHTA, R. KELLER JANIN Forest/" and Forest Pi-oiliicts Resenrch Institu esearch Iiistittite Forest P roduc B’ Forestry an P.D. Bn.x 16, Tsuk’/ Norin Kenkyu, Danchi Nai, lbara 505. Japon i l l ha " I.N.R.A., Eco/e N(itioi du Génie Rural, des Eaux et des Forêts ale 7 Laboratoire de Recherches sur les Produit.s fore.l’tiers 14, rue Girardet, F 54042 Nancy Cede.x * ‘ v ’ 1.N.R.A Stcction de Recherches .sur la Qualité des Bois Centre de Recherches forestières de Nancy C/;n/?t/)c;!0tt!. F 542SO Seicha s p l11 Résumé Le gain de production en volume obtenu par la fertilisation minérale (N, P, K) qui n’entraîne pas une diminution importante des propriétés mécaniques (cas de la fertilisation P -! K ou P) comme on l’a vu dans la première partie (Ann. Sci. For., 40 (3), 283-298), est également appréciable lors des utilisations papetières du bois de pin maritime. En effet, il n’existe pas de différences importantes entre le bois témoin et le bois fertilisé pour le rendement en pâte et la longueur des fibres. Des observations détaillées montrent cependant que la zone de bois de compression - qui fournit par nature un rendement en pâte faible présente un rendement en pâte - plus faible (—4,6 p. 100) chez les arbres fertilisés que chez les arbres témoins. En revanche, les autres zones de bois normal chez les arbres fertilisés possèdent un rendement en pâte supérieur (+ 0,6 p. 100) aux zones correspondantes chez les arbres témoins. varie très rapidement d’une année il La longueur des fibres qui, dans le jeune âge, les années de même rang ni suivant l’autre n’est pas modifiée par la fertilisation ni entre la zone du bois de compression. 1. Introduction Nous examinerons ici l’influence de la fertilisation le le bois normal et sur chez le bois de maritime. compression pin Le bois de compression, qui est le bois de réaction des gymnospermes, a fait l’objet de très nombreuses études, comme par exemple : FuItTA et al. (1978), H ARRIS ( 1977), N1 (1982), O ( 1979), POLGE & ILLY ( 1967), SETH ( 1979), TNIMELL OLLS CH TA H (1979, 1980, 1982).
  2. La présence de ce bois constitue un défaut pour l’utilisation. C’est un type parti- culier de bois, conséquence d’une réponse physiologique de l’arbre à diverses solli- citations extérieures (géotropisme, phototropisme, concurrence, vents dominants...) ou peut-être intérieures (contraintes de croissance...). ). Dans le du pin maritime, il semble que les vents dominants d’Ouest jouent cas important dans la formation du bois de compression du côté Est des arbres. rôle un Sa présence a des répercussions sur le nombreuses propriétés du bois, couleur, rétractibilité, largeur de cernes, excentricité, densité, composition chimique, et donc sur son utilisation, que ce soit comme bois d’oeuvre ou comme matière première pour l’industrie papetière. Echantillonnuge l.l. On a tiré une rondelle d’un centimètre d’épaisseur dans chacun des 172 arbres échantillons décrits dans la 1partie (paragraphe 21), à la hauteur de 1,30 m ; sur chaque rondelle on a délimité les 5 années de 1966 à 1970, la saison de végétation 1966, année à partir de laquelle apparaît le bois de compression, étant la 10&dquo; année de croissance depuis le semis. comparaisons deviennent possibles tenu de cette précaution, les Compte pour ou regroupées. de bois normal ou de compression les prises séparément zones Plusieurs directions été étudiées afin de mettre en évidence une différence ont éventuelle dans les propriétés du bois normal et du bois de compression. bois de cle bois par rapport des Défiraition compression 1.2. au zones La figure 1 indique la définition des 4 zones dans chaque rondelle-échantillon ainsi que la terminologie adoptée, qui sera utilisée dans ce qui suit ; elle schématise également l’emplacement des 5 années étudiées. L’un d’entre nous a étudié en détail la structure de ces 5 accroissements annuels (Ott 1979, op. cit.). n, T Le bois de compression occupe le secteur 3, centré autour de 0&dquo;. Le bois normal, bois opposé, occupe le secteur 4, centré autour de 180&dquo;. Le bois intermédiaire, qui ou a des propriétés a priori plutôt comparables à celles du bois normal, occupe les secteurs 1 et 2, centrés autour de 90&dquo; et 270&dquo; ’. 1.3. Caractères étudiés ont été étudiées la largeur des cernes, l’excentricité de Sur cet échantillonnage la moelle, la densité du bois et 2 caractéristiques papetières, le rendement en pâte la de fibres. longueur et Rois de compression - Conapre.rsiou woo Rois normxl, bois opposé - Opposite woo , d . d Bois intermédiaire - Sirle wood.
  3. Largeur des 2.1. cernes La vitesse de croissance radiale a déjà été évoquée à propos des billons et éprou- normalisées étudiés dans la première partie (paragraphes 2211 et 2221). vettes la des moyennes de cernes, toutes 2 La indique fréquence largeurs et figure zones tous traitements confondus. comparaisons de moyennes pour le bois Le tableau 1 donne les résultats des la réunion des deux catégories. Le groupe des normal, le bois de compression et dans les 3 cas le groupe des témoins et des traitements traitements contenant P dépasse P (N et NK). sans
  4. La figure 3 montre que la largeur de cerne cumulée sur les 5 supérieure est ans dans le bois de compression, quels que soient les traitements ; les situés points sont les groupes au-dessus de la première bissectrice et l’on notera la séparation entre avec P et les groupes sans P. 2.2. Excentricité de la moelle On observe très souvent, dans le cas du pin maritime, une excentricité de la moelle et nous avons procédé à sa mesure pour les sept traitements.
  5. Rc X 100 où Rc et Ro par le rapport Elle est définie, dans étude, cette e = Ro le diamètre 0&dquo;-180&dquo; de la section entière des rondelles (fig. 1). mesurés sont sur (1967), l’excentricité de la moelle révé- Comme l’ont montré P et I LLY OLGE est ’ latrice de la présence de bois de compression.
  6. Cependant, dans le cas de cette expérience, lorsqu’on considère les douze années à 1,30 m, on n’observe pas de différence significative entre les traitements pour l’excen- tricité (tabl. 1 ), bien que les résultats relatifs aux largeurs des 5 cernes montrent des différences entre traitements. Ce résultat est donc différent de celui qui a pu être annoncé dans la première partie (paragraphe 2213) à partir de mesures faites à 0,30 m. défaut de forme La fertilisation ne semble donc pas entraîner systématique, un section transversale. en de bois de L’excentricité est, bien entendu, la conséquence de présence une (O 1979, op. cit.), à compression. Dans publication récente, l’un de , HTA une nous partir des mêmes échantillons que ceux dont il est question ici, indique le nombre d’individus comportant du bois de compression dans les 7 modalités de traitement. Le phénomène de l’apparition de ce bois de réaction y est étudié en fonction de la distance par rapport à la moelle de points des divers rayons des rondelles (0&dquo;, 90&dquo;, 180&dquo; et 270&dquo;) tels que nous les avons définis au paragraphe 12. Densilé du bois 2.3. L’infradensité du bois a été mesurée pour chaque rondelle suivant les 4 directions définies au paragraphe 12 (fig. 1 ), sur les 5 années de 1966 à 1970 (tabl. 2). 2.3.1. Zone de bois de compression L’analyse des résultats montre une assez faible différenciation statistique entre les traitements ; seul le traitement N semble se distinguer d’une partie des autres pour ce bois de compression dont la nature particulière masquerait, en quelque sorte, l’effet des divers modes de fertilisation. 2.3.2. Zone de bois normal Pour le bois normal, diamétralement opposé au précédent dans la rondelle, on observe une plus forte valeur du test F de SrrE!ECOa (F observé = 5,3) et donc des différences plus nettes entre les moyennes de traitements. Cette fois-ci, le traitement témoin T se détache de tous les traitements fertilisés. En outre, l’ensemble des traitements présente, en moyenne, une densité inférieure d’environ 20 g/dm à celle du bois de compression, ce qui correspond bien aux :1 propriétés connues du bois de compression des résineux. 2.3.3. Zone de bois intermédiaire La répartition des résultats ressemble beaucoup à celle du bois normal, en la plus forte valeur pour le témoin. Les traitements contenant de particulier avec l’azote présentent les plus faibles valeurs, NK et P étant intermédiaires. 2.3.4. Bois des quatre confondcres zones Les résultats sont tout à fait analogues au cas précédent ; c’est en moyenne, la valeur de la densité globale de chaque rondelle. Notons encore la forte valeur de la densité des témoins et la place de transition des traitements NK et P.
  7. 2.3.5. Zones du bois normal et du bois intermédiaire l’ensemble des 3 directions ne comportant pas de bois de Le calcul effectué sur de façon très nette, le regroupement des traitements compression montre encore, fertilisés, dont la densité varie dans un domaine assez étroit, de 346 g/dm à 357 g/din , 3 B et la séparation du traitement T, dont la densité est 369 g/dm-1, de tous les autres traitements. résumé, pour les directions exemptes de bois de compression, qu’elles soient En isolément prises regroupées, constate que : on ou le traitement témoin, avec la plus forte valeur de densité, se détache de tous - les autres traitements fertilisés ; les traitements fertilisés sont groupés dans un domaine de densités assez étroit ; -
  8. les traitements comportant de l’azote, à l’exception de NK dont les accroissements annuels ne sont pas significativement différents de ceux des témoins (voir paragraphe 21 et tableau 1), présentent souvent les plus faibles valeurs de densité, à l’écart par rapport au témoin ne dépassant pas 50 g/dm c’est-à-dire environ 8 p. 100 ; B dépressif de la fertilisation, de l’azote en particulier, sur la densité, l’effet est - statistique, mais somme toute assez limité sur le plan pratique ; net au sens le traitement P se maintient à un niveau de densité intermédiaire entre le - témoin T et les autres traitements ; il n’est inférieur au témoin que d’environ 4,5 p. 100. Pour la direction contenant le bois de compression, il semble que les différences précédentes soient masquées par le phénomène « bois de réaction » au point que, à l’exception du traitement N, on ne puisse plus faire de différence entre le traitement témoin et les traitements fertilisés ; en particulier, la valeur moyenne du traitement P est presqu’identique à celle du témoin. Dans le cas où l’on examine toutes les directions confondues, les valeurs de la densité sont légèrement supérieures à celles du bois normal strict et la différenciation se fait entre traitements fertilisés, notamment ceux qui contiennent de l’azote et témoin. Malgré un certain nombre de différences, en particulier en ce qui concerne NK, les résultats obtenus sur ces années particulières sont assez bien cohérents avec ce qui a été trouvé à partir des éprouvettes normalisées d’essais mécaniques (première partie, paragraphe 222 et tableau 4) : regroupement des traitements fertilisés contenant N, ou N et P, vers les densités plus faibles, place intermédiaire de P ou de PK. vitesse de Le traitement NK ne présente pas d’intérêt particulier, étant donnée sa croissance radiale aussi faible que celle des témoins non fertilisés. Influence de la fertilisation 3. les caractéristiques papetières sur propriétés papetières du bois les plus importantes sont le rendement en pâte Les et la longueur moyenne des fibres (trachéides). On se propose de les étudier succes- sivement, la première en rapport avec la densité du bois et la seconde fonction en pour les différentes directions définies au paragraphe 12. de l’âge, Rendernent 3.1. pâte en Echantillonnage 3.1.1. A partir des l72 arbres étudiés précédemment (Ort 1979, op. cit.), nous avons n, T constitué un deuxième échantillonnage restreint ; pour chacun des 7 traitements, nous avons retenu 6 arbres, suivant 4 directions, soit 168 échantillons de bois pris radialement sur lesquels ont été déterminés à la fois l’infradensité et le rendement en pâte ; ces arbres présentaient une densité moyenne égale à celle du traitement auquel ils appartenaient.
  9. de bois de compression (direction 3), dont le comportement se La présence fortement de celui des autres directions (paragraphe 1), nous a amenés à distingue considérer le cas pratique où les 4 directions sont représentatives de l’arbre entier, puis les cas où l’on simule l’élimination du bois de compression en ne retenant que les directions 1, 2, 4, réunies, combinées deux à deux ou isolées. d’établir le dia- chaque traitement, le choix de l’arbre moyen a permis Dans des échantillons polaire des rendements (J 1972, 1980) en prélevant , ANIN gramme suivant 24 directions (fig. 4). radiaux 3.1.2. Méthodes Le rendement en pâte a été déterminé en microlessiveurs (J 1981) à l’aide , ANIN du KRAFT (NaOH + Na dans les conditions suivantes : procédé S) 2 alcali actif 20 p. 100 ; - sulfidité 25 p. 100 ; - liquide 4; rapport : - bois 1 h 30 à 170 °C. 1 h 30 de 20 I à C diagramme température-temps : C, I 170 - Les autres caractères mesurés sont la largeur des cernes, l’infradensité et le produit infradensité X rendement en pâte qui exprime le poids de fibres anhydre à l’état écru, utilisable par l’industrie papetière, rapporté au volume des arbres sur pied (J 1983). , ANIN 3.1.3. Résultats la variance Analyse de 3.1.3.1. Les résultats de l’analyse de variance sont consignés dans le tableau 3, colonnes 1 à 13. Les effets considérés sont l’influence de la fertilisation et des directions. Facteur fertilisation Sur le rendement pâte en - n’y qu’un effet faiblement significatif (F 2,5) lorsque le bois de compres- Il a = sion est associé aux 3 autres directions (tableau 3, colonne 2, cas réel de l’appro- visionnement des industries de pâte) ; l’effet n’est pas significatif quand il est associé à l’une quelconque d’entre elles (colonnes 7, 8, 9). Diagrammes polaires différentiels des rendements en pâte -
  10. En revanche, un effet plus net apparaît (F > 4) lorsque les trois directions de bois normal ou intermédiaire sont regroupées (colonnes 3, 4, 5, 6) ou lorsqu’on ne considère que le bois de compression (colonne 12, F 3,0).= Notons que lorsque le bois de compression est pris seul en compte, le rendement diminue quelles que soient les modalités de fertilisation et d’autant .plus, semble-t-il, qu’elles contiennent du phosphore (tabl. 4). T........, A En l’absence de bois de compression, le rendement plus élevé, et peut-être est d’autant que les modalités de fertilisation comportent du plus phosphore. la densité sur - On observe presque toujours un effet de fertilisation ; mais lorsqu’on considère le bois de compression seul, il n’y a pas de différences entre traitements (tableau 3, colonne 12). Le tableau 5 résume ces observations. le rendement par ttnité de volume (densité X pâte rendement) sur en - On observe toujours, à une exception près (tableau 3, colonne 10), une différence les traitements. La signification au seuil de1 p.1 000 dans le cas de l’arbre entre entier (tableau 3, colonne 2) est une indication très utile pour les forestiers, parce qu’elle correspond à la production de pâte par unité de volume de bois sur pied.
  11. Le tableau 6 montre les effets de la fertilisation soit globalement, soit sur le regroupement des directions ne comportant pas de bois de compression, soit sur le bois de compression seul.
  12. Facteur direction le t’C12C!E7122Y1i pâte L’t2 sur - cas de l’arbre entier (4 directions) on observe de fortes différences Dans le 139) dues principa- les directions, significatives au seuil de 1 pour1 000 (F entre = lement à la présence de bois de compression dans l’analyse (tableau 3, colonne 2). En effet, en l’absence de bois de compression (colonne 3), il n’y a pas de différence entre les 3 directions (F = 0,8 N.S.). Les résultats des colonnes 4, 5 et 6 confirment cette observation : aucune diffé- significative n’apparaît entre les directions, autres que celle du bois de compres- rence sion, prises 2 à 2 (F de 0,2 ; 0,5 et 1,4 ; tous N.S.). En revanche, dès que le bois de compression est comparé à l’unc des 3 autres directions, les différences sont très hautement significatives (F > 150). la densité sur - On trouve constamment des différences entre directions, quelles que soient les comparaisons entreprises (tableau 3, colonnes 2 à 9). Lorsque le bois de compression entre dans la comparaison, il augmente la différence. le rendement par unité de volume pâte en sur - Le produit densité X rendement (1
  13. Un phénomène comparable a été mis en évidence par P et Tisser (1981) ETROFF Pinus curibueu où, sur 202 échantillons, une liaison négative a été observée entre sur le rendement net en pâte et le pourcentage de bois de compression mesuré sur une section transversale des arbres (r = &mdash;0,56 pour 200 degrés de liberté). 3.1.3.2. Principales valeurs ) s ? ycnn< ’ c K Des valeurs moyennes ont déjà été données de de variance l’analyse au cours 4 à 7 des tests de Du!renN). (tableaux Les résultats qui nous semblent les plus importants ont été regroupés dans les tableaux suivants qui provicnnent de la mesure, sur chaque échantillon, de la densité et du rendement en pâte : tableau 9, pour les 7 traitements de fertilisation, les directions étant confon- - dues ; tableau 10, pour les 7 traitements de fertilisation, les 3 directions ne compor- - tant pas de bois de compression étant confondues ; tableau 11, pour les directions prises isolément tous traite- regroupées, et - confondus. ments Relutiorzs entre le rendement et la lctrgeur cles 3.1.3.3. certes La largeur de cernes a été étudiée en détail par l’un de nous (O 1979. , HTA op. cit.) ; l’orientation et la présence de bois de compression jouent un rôle marqué sur cet indicateur important de la qualité du bois. l’accroissement cumulé sur le rayon, les relations HTA O montre également entre 5 représente cette liaison dans le suivant 24 directions, et l’infradensité : la figure cas du traitement NPK.
  14. L’étude des diagrammes de la figure 4 fait apparaître une diminution caracté- du rendement, pour les directions situées dans la zone du bois de compres- ristique sion (secteur 3) et une relative homogénéité pour les autres directions. On constate l’opposition existant entre l’accroissement cumulé sur le rayon et le rendement, à la fois à l’intérieur de chaque traitement (diagrammes polaires) et entre traitements. La figure 6 représente, pour les traitements de fertilisation, la corrélation (r =-0,930, signficatif à 1 p. 100) entre la diminution du rendement, dR p. 100, du bois de compression par rapport au bois normal et l’augmentation de la largeur moyenne de cerne dL mm.
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